Discover the stories of the Battle of the Bulge, the deep mark it left on civilian lives and the involved troops. From the <a target="_blank" rel="noopener noreferrer nofollow" href="https://www.liberationroute.com/en/pois/64/bastogne-war-museum">Bastogne War Museum</a> to the quiet memorials of Saint-Hubert, passing through the now peaceful Jack’s Wood and Peace’s Wood Memorial, each trail invites you to uncover the human stories behind this famous piece of history. The seven themed routes offer a wide range of experiences in Wallonia, including the cycling trail through the Libramont’s Battle of the Bulge informative panels or the walking tour of Mons’ city centre to discover its liberation from Nazi occupation. All these trails will take you on a journey in the footsteps of history and memory.&nbsp; &nbsp; Expand your journey along the Liberation Route with a unique trip through the memorial sites of World War II in Wallonia. Combine history, culture, landscapes, and local flavours for an experience that is both educational and touristic. ✈️🌍 <a target="_blank" rel="noopener noreferrer nofollow" class="Hyperlink SCXW72008494 BCX8" href="https://visitwallonia.com/en-gb/3/i-love/heritage-and-culture/wallonia-in-the-wars/39-45?cookie_lang=en-gb">Embark on the discovery of Wallonia, learn more on VISITWallonia’s website</a>&nbsp;

a Roche-en-Ardenne

Manhay War Museum

City of Mons

A view of Wallonia

Bastogne War Museum

Promotion in partnership with Visit Wallonia

The second world war in Wallonia

En chemin, les cyclistes rencontreront une série de points d'intérêt historiques, chacun marquant une histoire clé de la bataille ou commémorant ceux qui l'ont vécue.Manhay, Houffalize et La Roche-en-Ardenne portent toutes de profondes cicatrices de la bataille des Ardennes. Manhay était un carrefour stratégique âprement disputé par les forces allemandes et américaines, qui ont laissé derrière elles des vestiges tels qu'un canon PaK 40. Houffalize a subi les bombardements dévastateurs des Alliés, avec de lourdes pertes civiles aujourd'hui commémorées par des mémoriaux et son char Panther préservé. La Roche-en-Ardenne, nichée au bord de l'Ourthe, a été presque entièrement détruite en décembre 1944. Aujourd'hui, ses ponts, ses plaques et ses monuments honorent à la fois les victimes civiles et la résilience de la ville.Ensemble, ces sites forment un récit émouvant qui va du choc de l'assaut allemand à la victoire finale des Alliés. L'itinéraire n'est pas seulement un défi cycliste, mais aussi un voyage dans l'histoire vivante, où chaque virage de la route révèle une histoire de lutte et de souvenir.

Belgium 

La Bataille au Cœur de l’Ardenne

Explorez les méandres de l'histoire en vous lançant à la découverte du circuit de la Bataille des Ardennes qui retrace avec éloquence les moments décisifs de la Bataille des Ardennes, nichés au cœur de la commune de Libramont-Chevigny.&nbsp;Commencez votre aventure en vous enfonçant dans les profondeurs mystérieuses des forêts ardennaises, où chaque pierre et chaque arbre semble résonner encore des échos du passé. Les chemins vous conduisent sur les traces des soldats, évoquant l'intensité des combats qui ont marqué ces lieux autrefois paisibles.&nbsp;Que vous soyez passionné d'histoire, amoureux de la nature ou simple curieux en quête d'aventure, cette excursion promet une expérience inoubliable, mêlant découverte intellectuelle et émerveillement sensoriel.

La Bataille des Ardennes et le patrimoine mémoriel dans la commune de Libramont-Chevigny

Du centre-ville en passant par les petits villages, vous découvrirez le site de la chute du Halifax HR872 LQ-K, le mémorial dit le «&nbsp;Marocain&nbsp;» ou encore la plaque commémorant la libération de Saint-Hubert.Autant de monuments qui vous permettront d’en apprendre un peu plus sur les épisodes qui ont marqués la ville et ses environs.Cette route thématique est développée par le Royal Syndicat d'initiative de Saint-HUbert en partenariat avec Saint-Hubert d’Ardenne asbl, société royale d'histoire, d'archéologie et de sauvegarde du patrimoine hubertin.L’asbl publie depuis de nombreuses années des "Cahiers d’Histoire" ainsi que des bulletins semestriels. Leurs ouvrages sont en vente à la Maison du Tourisme de la Forêt de Saint-Hubert ou <a target="_blank" rel="noopener noreferrer nofollow" href="https://www.sha.be/index.php?page=commander_cahiers">en ligne</a>.&nbsp;&nbsp;

Sur les traces de la guerre 40-45 en terre de Saint-Hubert

Situées à un carrefour géographique européen stratégique, la ville de Mons et sa région ont été le théâtre de plusieurs événements historiques majeurs au cours des siècles. En particulier, notre ville a été une étape importante dans le parcours de milliers de soldats lors de la Première Guerre mondiale et de la Seconde Guerre mondiale. Lorsque la guerre de 1940-1945 éclate, les armées françaises tentent de contenir l'avancée allemande autour de Mons. Mais l'afflux de milliers de réfugiés sur les routes et les attaques aériennes ennemies plongent la ville dans une seconde occupation. Celle-ci durera jusqu'en août 1944.La ville de Mons entretient le souvenir des nombreuses victimes de la Seconde Guerre mondiale à travers des cérémonies commémoratives. Elle vous invite également à découvrir le Musée Mémorial de Mons, dont les collections offrent un regard neuf sur les relations entre civils et militaires. Autre initiative, plusieurs fresques monumentales ont été réalisées dans la ville en hommage au courage et au sacrifice de nos résistants, notamment Marguerite Bervoets et Gabriel Ottelet.

Mons Centre ville

Le but était de s'emparer du port d'Anvers et de diviser les armées alliées. Cette opération est plus connue sous le nom d'"offensive des Ardennes" ou de "Battle of the Bulge" (en anglais), qui tire son nom du "bourrelet" (bulge en anglais) créé par l'armée allemande dans les lignes alliées dans les Ardennes. Il s'agissait notamment de la formation de soldats allemands qui encerclaient les troupes américaines à Bastogne. L'itinéraire du Chemin de la liberté commence à Bastogne, où l'Union mondiale des villes martyres pour la paix a été créée en 1982. Le sentier relie de nombreux villages libérés par les troupes américaines après avoir connu des combats acharnés au cours de l'hiver 1944-1945. L'itinéraire est facilement accessible aux randonneurs et aux vététistes. Route thématique développée en partenariat avec La Maison de la Randonnée - GTA Belgique asbl Carnet de route et carte IGN 1/25000 disponible <a target="_blank" rel="noopener noreferrer nofollow" href="https://www.gta.be/">ici</a>.

Le Chemin de la liberté 

Cet itinéraire permet aux visiteurs de découvrir les sites et les histoires liés aux batailles menées au nord et à l'est de Bastogne, par les troupes des 506e et 501e régiments d'infanterie parachutiste de la 101e division aéroportée américaine.Le paysage<s>s</s> entre les villages de Mageret et de Foy est encore marqué par les traces des combats. Depuis la fin du XXe siècle, divers monuments ont été érigés dans la région qui rappellent en permanence les sacrifices consentis par de nombreuses personnes au cours de la bataille des Ardennes.L'un de ces monuments, situé entre Bizory et Foy, rappelle le sacrifice de nombreux soldats américains tués au combat dans la région du Bois Jacques.Un autre site commémoratif, est celui du Bois de la Paix. A travers chacun de ses arbres commémoratifs, il rend hommage à tous les soldats et unités américains qui ont combattu lors de l'Offensive des Ardennes. Inauguré en 1994, le message de paix du bois prend tout son sens vu du ciel, les arbres du souvenir étant disposés selon la forme du symbole de l'UNICEF.En suivant ce parcours dans la campagne ardennaise, le visiteur découvrira l'ampleur des combats, les difficultés rencontrées par les soldats dans leurs tranchées et sur la ligne de front, ainsi que la peur et la souffrance des civils piégés à l'intérieur et à l'extérieur du périmètre de Bastogne pendant l'hiver 1944-1945.Le parcours est accessible aussi bien aux marcheurs qu'aux cyclistes.

Bois de la paix

Lorsque les Screaming Eagles de la 101e division aéroportée ont été encerclés par les Allemands à Bastogne, les conditions étaient totalement contre toute attente pour les soldats américains. Avec peu de munitions, peu de nourriture et même sans équipement pour le froid, le ciel nuageux rendait les parachutages impossibles. De plus, les renforts sont à une semaine de Bastogne.Un raid aérien mené sur le poste de secours a emporté une grande partie de la compagnie médicale et blessé de nombreux soldats. Bien que les Américains soient en infériorité numérique de cinq contre un, le général McAuliffe laisse ses hommes former un périmètre de 360 degrés autour des canons du 333e Bataillon d'artillerie. Les troupes ont rapidement communiqué et ajusté leurs positions pour faire face aux troupes allemandes qui attaquaient. Ce schéma s'est poursuivi tout au long de la bataille.Lorsque le commandant allemand Lüttwitz a exigé la reddition des troupes américaines, le général McAuliffe a répondu de façon célèbre : "Nuts !" &nbsp;(« Des noix !&nbsp;» , dans le sens d'un non catégorique) .Finalement, le ciel s'est ouvert et le ravitaillement a atteint Bastogne par parachutage. Les avions sont venus au secours des soldats qui manquaient de munitions pour leur artillerie. Enfin, Patton est arrivé, mettant fin à l'offensive des Ardennes. Cependant, tout cela n'aurait pas été possible sans les Screaming Eagles qui ont tenu Bastogne.

Autour de Bastogne

En septembre 1944, les forces alliées avaient atteint la ligne allant de Luxembourg à Anvers. Adolf Hitler a alors choisi de lancer une dernière contre-offensive dans les Ardennes. Il devait attendre que la météo soit mauvaise, avec des nuages et du brouillard, pour éviter que les Alliés ne puissent tirer parti de leurs forces aériennes plus puissantes. La bataille a donc finalement été lancée le 16 décembre 1944. La 6e division Panzer SS, la 5e division blindée et la 7e armée du commandant Brandenberger ont alors marché sur les Ardennes.Avec cette opération, qui avait pour nom de code Wacht am Rhein, Adolf Hitler voulait diviser les troupes alliées grâce à une contre-offensive surprise. Il souhaitait reprendre les ponts traversant la Meuse afin d’avancer jusqu’à Liège pour atteindre ensuite le port d’Anvers. Du côté américain, la surprise a été totale. Néanmoins, contrairement à l’offensive lancée en mai 1940, la bataille des Ardennes n’a pas connu un succès rapide. En effet, les conditions météorologiques étaient plus mauvaises, les forces aériennes des Alliés étaient bien plus puissantes et les réserves de carburant des Allemands se sont avérées insuffisantes. À partir du 23 décembre, le temps a commencé à s’éclaircir. Les Américains ont alors déployé leur puissance aérienne et lancé une contre-attaque.À la mi-janvier 1945, le manque de carburant a poussé les Allemands à abandonner tout simplement leurs véhicules, portant ainsi un coup fatal aux ambitions d’Adolf Hitler. Le 25 janvier 1945, la bataille prenait fin. Jamais l’armée américaine n’a essuyé autant de pertes au cours d’une opération : 10 733 soldats américains ont été tués et 42 316 ont été blessés au cours de la bataille des Ardennes. Du côté allemand, on a enregistré 12 652 morts et 38 600 blessés. Près de 2500 civils ont perdu la vie en Belgique, et 500 dans le Grand-Duché de Luxembourg.<iframe class="ql-video" allowfullscreen="true" src="https://www.youtube.com/embed/fqoG3o6TOkU?showinfo=0" frameborder="0"></iframe>

La seconde guerre mondiale en Wallonie

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